Le World Economic Forum, qui rassemble près de 70 chefs d’états et de gouvernements, s’est tenu du 23 au 26 janvier 2018.

• Présentation de la WEF

C’est une fondation à but non lucratif, créée en 1971, dans le projet de débattre des problèmes les plus urgents de la planète comme par exemple l’économie mondiale. Il rassemble 300 personnes dont des dirigeants d’entreprise, des responsables politiques du monde entier ainsi que des intellectuels et des journalistes. Le forum est dirigé par Klaus M. Schwab qui est également le créateur de ce rassemblement qui se tient à Davos en Suisse.

• Que s’est-il passé cette année ?

Le premier événement qui a marqué cette conférence

est la venue de Trump à Davos. En effet, celle-ci à

été contestée par près de 1000 manifestants. Mais

le président américain a quand même tenu à venir pour présenter une Amérique ouverte aux affaires étrangères, un lieu où les entreprises investissent, ce qui génére du travail pour les américains.

La Grande-Bretagne a elle défendu le libre-échange qui est, pour rappeler, un principe qui favorise le commerce international sans barrières douanières et réglementations nationales. Selon Liam Fox, secrétaire d’État britannique au commerce international, la Grande-Bretagne continuera à promouvoir le libre-échange puisque, selon lui, cela est grâce à ce principe que un milliard de personnes sont sortis de la pauvreté au cours de la dernière génération.

Le président français et créateur du mouvement « En Marche ! », a attiré les faveurs pendant le forum. Merkel, jugée trop affaiblie, Macron serait le nouvel espoir pour diriger l’Europe. Macron qui a d’ailleurs fait un discours très remarqué où le chef d’État prouve qu’il manie bien les mots autant en français qu’en anglais et où il lança des petits pics au président américain Trump.

Le sujet du PIB a aussi été beaucoup discuté. En effet, selon beaucoup, le PIB, qui mesure la croissance des richesses, ne serait plus accès efficace. D’après Diane Coyle, économiste britannique propose des nouveaux critères comme le capital humain pour mesurer l’éducation la qualité de l’environnement,le capital social pour savoir si le pays en question est uni ou divisé ainsi que le capital intangible pour les données numériques.

Antoine.F. 

Le 03 février 2018.